sectio pcf du santerre

Une date à noter dès maintenant : 28 octobre 2014, 9h, Palais de Justice d' Amiens,
pour le procès des militants de la Confédération Paysanne ! ! 

 
http://www.novissen.com/Pages/default.aspx
 


Une nouvelle industrialisation :

Un enjeu majeur pour la France en Europe

Madame, Monsieur,

 

Notre pays connaît un véritable effondrement industriel. L’industrie française va mal.

 

En dix ans, 750 000 emplois ont disparu et 40 000 sont aujourd’hui menacés par de nouvelles fermetures ou restructurations d’entreprises. Pas une filière n’échappe à la casse et face à une régression d’une extrême gravité. Nous réaffirmons que c’est l’avenir du pays qui est posé.

 

Notre département, notre région, sont directement concernés. Goodyear, Bosh, Goss, Alcatel Lucent, Schering…

 

Nous partageons certainement ensemble le même constat. Comment y répondre ?

 

Pour sa part le PCF entend relever ce défi, celui de la promotion d’une politique industrielle du 21ème siècle.

 

C’est pourquoi, il s’engage dans la préparation d’une convention nationale « Pour une nouvelle industrialisation : un enjeu majeur pour la France en Europe » qui se tiendra les 22 et 23 novembre 2014.

 

Afin de confronter nos expériences locales et nos points de vue sur cette question, nous souhaitons pouvoir échanger avec vous ainsi qu’avec d’autres responsables politiques, élu-e-s locaux, syndicalistes, militant-e-s en entreprises et associatifs, salariés…

 

C’est pourquoi nous vous invitons à une rencontre débat le :

Mardi 18 novembre 2014 -18h30

Salle Jean Cavaillès (Espace Dewailly)

Avec Yves DIMICOLI

Economiste et membre de la direction nationale du PCF

 

Nous vous invitons à consulter le site national du PCF, www.pcf.fr rubrique et moteur de recherche « convention nationale de l’industrie » sur lequel vous trouverez le document préparatoire à notre convention qui reprend l’essentiel des propositions avancées par le PCF en matière de nouvelle industrialisation.

 

Ce texte peut être largement enrichi. Nous voulons le faire grâce à la réflexion la plus large possible, à laquelle nous serions heureux que vous puissiez contribuer.

 

Restant à votre disposition et espérant vivement que vous participerez à ces travaux, recevez, Madame, Monsieur, nos salutations les plus cordiales.

 

 

La direction départementale du PCF

 

 

la santé, l’action sociale
la Protection sociale
malades
des plans d’austérité
La lutte doit continuer

Manifestation du 15 Juin, un premier pas avant la rentrée de Septembre

Flash Player pas à jour




Une autre politique à gauche est possible
Nous voulions le changement,nous avons eu l’austérité !
Nous voulions l’abrogation de la loi HPST, nous avons toujours Claude évin et les ARS !
Nous voulions des hôpitaux 100 % publics de plein exercice et des centres de santé pour répondre aux besoins des populations, nous avons la fermeture des urgences à l’Hôtel Dieu, celle programmée d’A.Chenevier, de Saint-Antoine, de Bichat et Beaujon… ou la maternité des Lilas ou des Bluets
Nous voulions le remboursement à 100% par la Sécurité Sociale, nous avons l’aggravation des dépassements d’honoraires.
La politique d’austérité, adossée aux effets dramatiques de la loi HPST, destructure
l’offre publique hospitalière, détricote le tissu sanitaire et médico-social de proximité,
aggrave le renoncement aux soins avec :
• l’augmentation des forfaits et autres restes à charge, les franchises médicales, les
déremboursements et les dépassements des honoraires médicaux
• la dégradation des équipements et des conditions de travail
• la casse des emplois.
Le projet régional de santé des ARS ne répond pas aux spécificités et besoins des régions
ni aux objectifs de santé et de démocratie sanitaire. Il ne permet pas
de satisfaire les besoins des citoyens, avec un système cohérent de santé comme proposé
lors des Assises régionales de la Santé en Île-de-France.
Les solutions
Le niveau des richesses nationales et la nature des besoins à satisfaire sont sans commune mesure. L’argent existe pour réorienter les moyens nécessaires à la refondation
d’un système de protection sociale universelle et solidaire :
• 30 milliards d’exonérations des cotisations patronales, pesant de presque autant
sur la dette de l’état
• 1 milliard de non-déclaration des maladies et accidents liés au travail
• 172 milliards de niches fiscales et sociales
• 20 milliards de fraudes patronales…
• 75 milliards avec la mise place d’une cotisation sociale sur les revenus financiers
des entreprises.
La Santé, l’Action sociale, la Protection sociale malades des plans d’austérité !
Il est urgent d’agir!
Chaque jour, de plus en plus de gens renoncent aux soins, les droits sociaux sont bafoués,
les prises en charge du handicap et de la perte d’autonomie deviennent inaccessibles.
Parce que nous refusons :
- les suppressions d’emplois, la dégradation des conditions de travail qui mettent sous pression
les professionnels et aggravent les délais d’attente et les conditions d’accueil et de soin
- l’étranglement financier des structures
- les restructurations, les fermetures d’établissements et de services hospitaliers, sociaux et médico-sociaux
- les déserts médicaux
- la marchandisation de la santé et du social
- les dépassements d’honoraires, les franchises, les déremboursements et les forfaits
- les prédateurs financiers qui spéculent sur la santé et le vieillissement de la population au détriment des usagers et des conditions de travail des salariés.
 
Nous exigeons :
- un grand service public de la santé et de l’action sociale
- le retour à une protection sociale, ouverte à toute la population, basée sur le principe « chacun
cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins »
- une réponse à tous les besoins sociaux pour mettre fin à toutes les formes d’exclusion
- l’accès à des soins de qualité pour toutes et tous partout de façon permanente
- l’arrêt immédiat des restructurations et fermetures pour en finir avec la loi HPST
- la défense et l’amélioration des statuts et des conventions collectives
- des emplois plus nombreux et qualifiés répondant aux besoins
 



Retraites : des Français prêts à se mobiliser

Retraites:Question du député communiste de l'Oise
Patrice Carvalho. En réponse aux députés FDG
la ministre Touraine joue la division
des salariés



Un récent sondage CSA/l’Humanité sur les retraites est sans ambiguïté : les Français sont inquiets, prêts à se mobiliser contre des mesures qui menaceraient leurs droits et ils souhaitent qu’on s’en prenne aux revenus financiers plutôt qu’aux salariés et aux retraités pour équilibrer les comp­tes du système. Les experts patronaux abonnés aux écrans de télévision en déduiront avec cette réprobation attristée qu’ils savent si bien répéter que nos concitoyens sont égoïstes et se moquent bien des générations à venir. C’est tout le contraire. Les Français sont lucides et ne mordent pas à l’hameçon des idées reçues dont voici un petit échantillon.
«?La part des retraites dans les richesses créées va exploser d’ici à 2060.?» Faux. Pour la France, la Commission européenne anticipe une augmentation de 0,5?% du PIB en cinquante ans, alors qu’elle sera de 2,6?% en Allemagne, de 3,6?% en Espagne, de 1,5?% ?au Royaume-Uni et de 3,6?% au Pays-Bas. «?Les retraités vivent mieux que les actifs. Faux. La pension moyenne représente 74?% du salaire moyen net et 62?% du salaire moyen net à temps complet. Leur niveau de vie moyen s’est, en comparaison, dégradé entre?1996 et?2008. «?Les réformes Fillon et Sarkozy ont été trop généreuses pour les salariés.?» Faux. Entre?2001 et?2010, c’est en France que l’âge de la retraite a le plus reculé (de 2,1?%) contre 1,6?% dans l’ensemble de l’Union européenne et les futurs retrai­tés toucheraient, en 2060, 20?% de moins en moyenne que les retraités actuels, rapportés à la richesse produite dans le pays, vient de montrer Alternatives économiques. La durée de cotisation nécessaire pour tou­cher une pension complète (41,5 ans en 2020) est l’une des plus longues d’Europe. Seules l’Allemagne, la Belgique, l’Autriche et l’Italie font pire parmi les 27 pays membres de l’Union européenne. «?Il faut suivre l’exemple allemand.?» Surtout pas ! On compte 20,6?% de retraités outre-Rhin et le taux de retraités en situation de pauvreté monétaire est de 40?% supérieur à la France. Un salarié, ayant cotisé quarante ans pour un salaire brut de 2 200?euros y touchera 688?euros par mois en 2030 ! L’Allemagne compte 761 000 retraités en mini-jobs, des emplois payés moins de 450?euros par mois. Et 120 000 d’entre eux auraient plus de 75 ans.
                                                                                         


On n’est pas loin de la prescription donnée par Richard Liscia dans le Quotidien du médecin du 30?mars 2005 : «?Si nous étions extrêmement cyniques, nous dirions que le moment arrive où, du point de vue de la dépense publique, il vaudrait mieux que meurent les gens qui veulent rester oisifs…?» Déjà, en France, les plus de 75 ans sont plus frappés par la pauvreté qui, ajoutée à la solitude, les pousse au suicide plus que les autres catégories. «?Une nouvelle réforme des retraites améliorera la situation économique.?» Archifaux. Augmenter les cotisations sociales des salariés ou baisser les pensions des retraités réduirait le revenu des ménages et diminuerait le produit intérieur brut et la croissance. Une impasse coûteuse. C’est une politique de Gribouille se jetant dans la Seine pour éviter d’être mouillé par l’averse.
La recette efficace consiste à bannir l’austérité, à relancer l’emploi et à taxer les revenus financiers





 






LES SALARIÉS DE FRAISNOR EN LUTTE POUR LEUR EMPLOI

UN SALARIÉ EN GRÈVE DE LA FAIM
DEPUIS LE 13 MAI
Les salariés de Fraisnor refusent d’être les sacrifiés de la mafiaviande. Depuis la mi-février, les salariés de Fraisnor avec leur syndicat CGT sont en lutte pour maintenir l’activité de leur entreprise et leur emploi, victime de la soif de profits de la grande distribution et des réseaux mafieux de la filière viande. Leurs actions courageuses, de l’occupation du stand du ministère de l’Agriculture au Salon de l’Agriculture à la marche de plus de 200 km du siège de l’entreprise à Feuchy (62) de 3 salariés jusqu’à l’Elysée pour déposer leurs revendications et rencontrer un représentant du Président de la République, se sont soldées par diverses entrevues et engagements de la part des pouvoirs publics et de l’employeur qui tardent, pour le moins à se concrétiser, voire à être remis en cause. Comme celui de la Communauté Urbaine d’Arras qui, aujourd’hui conditionne le versement du produit de la vente des bâtiments de l’entreprise à la décision du tribunal de commerce en audience le 15 mai sur le plan de continuation, audience à laquelle n’ont même pas été conviés les représentants des salariés. Résultat, la production est arrêtée faute de trésorerie pour acheter les matières premières permettant d’honorer les commandes. Le plan de continuation proposé par l’employeur réduit l’activité et les effectifs de moitié. Force est de constater une volonté délibérée de faire payer aux salariés les gabegies des stratégies patronales et gouvernementales. Les élus CGT au Comité d’entreprise désigneront un expert-comptable afin d’élaborer une proposition alternative de redressement de l’activité maintenant l’emploi et le potentiel industriel.
Face à ce mépris des salariés et de leur lutte pour le maintien de leur emploi et du potentiel industriel régional, Olivier Renaut, salarié et délégué CGT de Fraisnor, a décidé d’entamer une grève de la faim depuis le 13 mai pour contraindre les pouvoirs publics et l’employeur à prendre leurs responsabilités, mettre en oeuvre les engagements pris et tous les leviers financiers possibles pour permettre la continuation de l’activité de l’entreprise et l’emploi :
¾
La Communauté Urbaine d’Arras doit tenir ses engagements pour la réalisation des actifs immobiliers. Elle doit verser dans les plus brefs délais le produit de la vente du bâtiment permettant d’injecter de la trésorerie pour redémarrer la production,
¾
L’employeur doit céder sous condition « les murs de l’entreprise » et s’engager dans un plan de continuation intégrant un projet industriel de reconquête des marchés et des volumes nécessaires à la reprise de l’activité.
¾
L’Etat et les collectivités territoriales doivent également prendre leurs responsabilités en soutenant financièrement la reprise d’activité et l’investissement.
La CGT poursuivra sa mobilisation pour défendre l’emploi et la pérennité de l’activité industrielle de Fraisnor.
 
Feuchy, le 14 mai 2013
 

Amnistie sociale
Rassemblement à Amiens le 16 Juin 2013
Pour l'amnistie des syndicaliste
Inertvention de Christophe Saguez

http://vimeo.com/66381744
 

Assemblée 16-05-2013
Pour l'amnistie sociale
André CHASSAIGNE député communiste

 



5 Mai Manif pour la 6éme république
Intervention de Pierre Laurent




 



1 er Mai festif à Amiens

A voir sur;
http://vimeo.com/65328608
 



Novissen à Paris
contre la ferme des 1000 vaches

Dimanche 3 Mars 2013
Reportage de Jean Larvo
r

A voir sur;
http://vimeo.com/61429014 et http://vimeo.com/61444552

info et soutenez Novissen sur;

www.novissen.com/

 




NORBERT DENTRESSANGLE

LA LUTTE CONTINUE 
Rendez vous le 22 novembre 2012





Fouilloy
 
31 janvier 2012




Les parents d'élèves de FOUILLOY-AUBIGNY- VECQUEMONT - VILLERS BRETONNEUX,
les enseignants, les élus et le secrétaire de section PCF du Santerre se sont mobilisés contre les fermetures de classes annoncées que prévoit la carte scolaire 2012-2013.




 

 



ROYE

 

NORBERT DENTRESSANGLE


Novembre 2011






 

 




 

 








 

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